Elle m’interdit de toucher à quoi que ce soit, tout est vieux et intouchable. En bref, nous vivons comme dans un musée ! Chaque fois que j’essaie de faire quelque chose par moi-même, cela tourne au désastre.
« Depuis trois ans, nous vivons sous le même toit que ma belle-mère, Martine. En plus d’elle, il y a mon mari, notre fils de trois ans, et moi. Nous n’avons pas les moyens de déménager. Le salaire de mon mari couvre à peine nos dépenses. Même si je trouvais un emploi, mon revenu en tant que professeur à temps partiel ne ferait pas une grande différence. Alors, nous vivons ensemble et essayons de faire de notre mieux, mais les choses sont loin d’être parfaites… »
« Depuis trois ans, nous vivons sous le même toit que Madame Dupont. En plus de ma belle-mère, il y a mon mari, notre fils de trois ans, et moi. Nous n’avons pas les moyens de déménager. Mon mari ne gagne pas assez pour couvrir toutes nos dépenses. Même si je trouvais un emploi, mon salaire en tant qu’enseignante à temps partiel ne ferait pas une grande différence. Alors, nous vivons ensemble et essayons de faire au mieux… »
Je me sens désolée pour mon mari ; il ne mérite pas ce traitement. Et je n’ai pas poussé ma belle-mère dehors—personne ne l’a fait. Elle ne veut tout simplement pas revenir après être partie.
« Depuis quatre ans, nous vivons sous le même toit que Madame Gianna. Avec ma belle-mère, il y a mon mari François, notre fille de deux ans, Léa, et moi. Déménager n’est pas une option pour nous. Le revenu de François ne suffit pas à tout couvrir, et même si je trouvais un emploi, le salaire d’une bibliothécaire ne ferait pas grande différence. Ainsi, nous vivons ensemble, mais non sans nos défis… »
